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Vers une Paix Durable : L’ Engagement Patriote de Alain KISHIBA Président de l’ AJTS (ASSOCIATION DES JEUNES DU TERRITOIRE DE SAKANIA) En Faveur de l’Accord de Washington

Dans un esprit de responsabilité patriotique et d’engagement constant pour la stabilité nationale , Alain KISHIBA, exprime un soutien ferme, argumenté et sans ambiguïté à l’accord de paix signé à Washington entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda, sous le leadership du Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Cet acte diplomatique, d’apparence protocolaire pour certains, constitue en réalité un pivot stratégique: il réoriente la boussole régionale vers la désescalade, réactive les mécanismes de confiance mis à mal par des décennies de méfiance, et crée un couloir de solutions où la sécurité n’est plus dissociée du droit, ni le droit coupé des réalités sécuritaires. En assumant la voie du dialogue, de la négociation et de l’orthodoxie du droit international, la présidence congolaise montre que la paix n’est pas un slogan ni une exotique chimère politique: c’est une architecture exigeante, faite de garanties vérifiables, d’engagements réciproques et d’un calendrier de mise en œuvre soumis à l’épreuve des faits. La lucidité de cet accord tient à sa double vocation, à la fois préventive et réparatrice: prévenir le retour cyclique des hostilités par des mécanismes conjoints de surveillance et d’alerte, et réparer le tissu social par la sécurisation des civils, la réhabilitation des couloirs humanitaires et la relance des échanges transfrontaliers sous strictes balises juridiques. L’Est du Pays, meurtri mais résilient, a besoin d’un cadre qui mette fin à la logique de la fragmentation. Cet accord, s’il est rigoureusement suivi, peut devenir l’ossature d’une sécurité durable, stabilisant les territoires, rassurant les communautés, et réinsérant les acteurs socio-économiques dans une normalité attendue depuis trop longtemps.

Fidèle à ses convictions républicaines, il salue cette initiative historique parce qu’elle replace la RDC dans une diplomatie de responsabilité qui conjugue souveraineté et coopération, fermeté et ouverture, mémoire des blessures et projection vers l’avenir. Elle exige des parties un devoir de transparence: des indicateurs publics de progrès, des audits sécuritaires partagés, une protection effective des populations, notamment des femmes et des enfants, et un alignement strict des actions militaires avec les normes humanitaires. Elle appelle aussi à une vigilance citoyenne et parlementaire: surveiller la mise en œuvre, dénoncer toute entorse, et défendre l’intérêt national en le reliant à l’intérêt régional. La paix durable n’est pas l’abdication des principes, c’est leur mise en musique dans un cadre de responsabilités claires: désengagement des forces irrégulières, traçabilité des flux d’armes et des ressources, justice pour les victimes, réintégration encadrée d’ex-combattants, et garanties économiques qui transforment les frontières en ponts plutôt qu’en failles. En soutenant cet accord, KISHIBA soutient une méthode: celle qui remplace la rhétorique des invectives par la grammaire des engagements vérifiables, qui fait du respect du droit la matrice d’une stabilité partageable. La paix n’est pas un événement; c’est une discipline. Et c’est en l’exerçant avec constance que nous donnerons à nos populations la sécurité, la dignité et l’horizon de développement qu’elles méritent.

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