
La Fondation Calixte MUNANA, sous l’égide de Nathalie -AZIZA MUNANA, Ambassadrice Universelle de la Paix, a marqué les esprits en organisant une journée mémorable alliant spiritualité et santé publique ce jeudi 20 novembre au bâtiment du 30 Juin à Lubumbashi. Cette journée du jeudi, le bâtiment du 30 Juin, majestueux symbole d’histoire et de résilience, a été métamorphosé en un sanctuaire citoyen vibrant, accueillant une marée humaine composée de veuves, d’orphelins et de fidèles de tous horizons chrétiens. Ensemble, ils ont élevé une clameur pacifique, formant un écho de prières ferventes pour la paix, la protection et la bénédiction de la Nation Congolaise sous la Présidence de Félix Antoine TSHISEKEDI.
Ce rassemblement transcende la simple communion religieuse ; il a été un véritable acte de solidarité où chaque souffle, chaque psalmodie, chaque main levée se mêlait dans un langage commun. Les douleurs individuelles se sont transformées en une espérance partagée, faisant de ce moment un puissant catalyseur d’unité. Nathalie AZIZA, figure emblématique de cette initiative, a joué son rôle avec calme et précision, rappelant que la paix ne se résume pas à un souhait, mais requiert une discipline quotidienne, une responsabilité à entretenir à travers la prière et la vigilance.

En parallèle, cette journée a coïncidé avec la Journée mondiale du diabète, un enjeu de santé publique particulièrement pressant en RDC. Pour répondre à cette problématique, la Fondation Calixte MUNANA a déployé des stands de dépistage et des modules de sensibilisation, proposant des conseils nutritionnels et des pistes de prévention adaptées aux réalités congolaises. Le diabète, souvent silencieux, frappe de plus en plus de Congolais, et il est crucial de le diagnostiquer précocement pour en atténuer l’impact sur les vies et les familles.
Les efforts déployés ont permis d’accorder une place centrale à l’éducation et à l’accessibilité. Les veuves, tête haute, et les orphelins, curieux, ont participé activement aux activités, tandis que les pasteurs, figures de respect dans leurs communautés, ont relayé les messages de prévention au-delà des murs du bâtiment, touchant ainsi les quartiers, les marchés et les écoles. L’action de ce jour a été plus qu’un simple événement ; elle a cherché à retisser la confiance autour de gestes simples, tels que mesurer sa glycémie ou comprendre les symptômes du diabète, tout en invitant chacun à une prise de conscience collective sans culpabiliser.

Les prières élevées formaient des ponts invisibles, tandis que les mesures de glycémie traçaient des lignes de vérité révélant l’urgence d’agir. Ce double engagement envers la spiritualité et la santé a propulsé la Fondation dans un élan de suivi et d’accompagnement, mettant en avant la persévérance et la rigueur. Construire la paix, en effet, c’est aussi lutter contre les injustices sanitaires et déminer l’ignorance. C’est offrir des solutions contre les fatalités qui affligent le corps social.
Au cœur de cette journée haute en couleur, marquée par des chants et des larmes contenues, a émergé une vision claire : transformer le soin en fraternité, mettre la foi au service de l’humanité. Le bâtiment du 30 Juin aspire à devenir un laboratoire d’unité nationale, où chaque voix trouve sa place et chaque souffle participe à l’édifice de la paix. Dans ce cadre, la constance de Nathalie AZIZA se révèle essentielle. Elle incarne cette fidélité inébranlable envers la patrie, où la prière et l’action sont indissociables, afin que la République Démocratique du Congo, dans toute sa splendeur et ses fragilités, puise dans la force de ses enfants un chemin vers la guérison des corps et des âmes.
Ainsi, ce rassemblement nous rappelle que le véritable enjeu est de bâtir une nation unie, qui prie, qui soigne et qui apprend, pour faire taire le tumulte des armes et construire un avenir où chaque Congolais peut vivre en paix et en santé.
