
Dany BANZA , figure aux mœurs Politiques douteuses , incarne une dualité troublante entre la promesse de défense des intérêts du Grand Katanga et les doutes qui pèsent sur ses véritables motivations. Son parcours laisse transparaître des interrogations sur son allégeance réelle envers ses supposés frères katangais, une question aggravée par des rumeurs qui lient ses origines au Grand Kasaï. Ces incertitudes créent une atmosphère de méfiance quant à son engagement sincère envers le développement et le bien-être de l’ espace Grand Katanga.
Alors que le gouverneur Jacques KYABULA s’efforce de transformer le Haut-Katanga par des initiatives favorisant le développement local et l’amélioration de la qualité de vie des habitants, Dany BANZA semble viser un objectif différent. En s’associant à des figures controversées comme Martin KAZEMBE, Danny KABONGO. Il utilise des méthodes sournoises pour faire obstacle à KYABULA. L’ attitude de Dany BANZA contre Jacques KYABULA met en évidence une lutte de pouvoir où les ambitions personnelles prévalent sur les besoins des citoyens.
Dans ce scénario,Martin KAZEMBE, en tant qu’allié de BANZA, incarne un autre visage de l’avidité politique. Leur association renforce une dynamique toxique au sein de la gouvernance, empêchant tout véritable progrès. Ce climat d’instabilité est exacerbé par la présence de Dany Kabongo, un sénateur dont l’élection a été entachée de controverses. Son rôle semble être celui d’un instrument au service des ambitions de BANZA, contribuant à un environnement politique déjà fragmenté.
Et derrière ces manœuvres, Moïse KATUMBI apparaît dans l’ombre, cherchant à redéfinir son influence au Haut-Katanga. Bien qu’il présente une image de légitimité contre le pouvoir de Kinshasa . KATUMBI, en manipulant les rivalités et les ambitions de BANZA et KAZEMBE, prépare le terrain pour un coup politique qui pourrait compromettre davantage la stabilité de la région.
Cette situation délicate soulève un appel urgent à la vigilance parmi les habitants du Haut-Katanga, qui aspirent à une représentation véritable et à des dirigeants profondément engagés à leur service. Leurs besoins doivent primer sur les ambitions personnelles et les luttes de pouvoir. Il est impératif de mettre en lumière les politiques prédateurs, dissimulées derrière des promesses souvent non tenues, et de tracer un chemin vers un avenir durable et inclusif. Dans ce contexte, l’intervention de Dany BANZA est perçue comme une menace, un obstacle à la réalisation des aspirations authentiques du peuple Haut katangais qui croit encore à son Gouverneur bâtisseur Jacques KYABULA.
