À Lubumbashi, un changement palpable s’est opéré sous la direction du Général Blaise Kilimbalimba, à la tête de la Police Nationale Congolaise dans le Haut-Katanga. La ville, autrefois marquée par l’insécurité, retrouve peu à peu son souffle. Les patrouilles policières, plus visibles et mieux organisées, rassurent une population qui, lentement mais sûrement, réapprend à profiter de ses soirées. Les commerçants prolongent leurs activités, les déplacements en taxi-moto se font en toute sérénité, et les familles se réapproprient des espaces publics. Ce retour à la normalité n’est pas le fruit du hasard, mais plutôt le résultat d’un commandement qui place la discipline et la rigueur au cœur de ses préoccupations. La consigne est claire : restaurer la confiance sans compromis, et cela se ressent dans chaque coin de la ville.

Les mesures mises en place par le Général Kilimbalimba ont bouleversé des pratiques bien ancrées. En intégrant l’éthique au sein de l’uniforme, il a rappelé que l’autorité doit s’accompagner d’exemplarité. Les abus et écarts de conduite ne sont plus tolérés, et ceux qui enfreignent la déontologie sont tenus responsables. Sur le terrain, cela se traduit par des contrôles plus respectueux et une présence policière qui rassure plutôt qu’elle n’ intimide. Les réunions opérationnelles et un suivi rigoureux des unités ont replacé la responsabilité au cœur du dispositif. Les officiers, redevenus médiateurs, contribuent à apaiser les tensions, tandis que la chaîne hiérarchique demande des comptes. Ces changements témoignent d’une volonté de transformation durable, faisant de la police non pas seulement une force, mais une institution au service de la population. Dans les rues de Lubumbashi, cette nouvelle réalité se manifeste à chaque patrouille, chaque interaction, et chaque nuit paisible, prouvant que l’ordre public se reconquiert avec détermination.