
La méchanceté humaine, ce poison insidieux qui gangrène les relations humaines, trouve souvent ses racines dans la jalousie, l’incompréhension et l’ambition démesurée. Ce phénomène, bien que vieux comme le monde, prend des formes nouvelles lorsque ceux qui brillent par leur engagement et leurs accomplissements deviennent les cibles d’attaques injustes. C’est le cas de Jacques KYABULA, Gouverneur du Haut-Katanga et figure montante de la scène politique Congolaise, qui est au centre d’une tempête de critiques imméritées.
Jacques KYABULA est un homme que beaucoup considèrent comme un modèle de gouvernance moderne et efficace. Sous son leadership, le Haut-Katanga a connu des progrès significatifs dans des domaines clés, renforçant l’image d’un homme pragmatique, proche des préoccupations de ses administrés. Celui que certains qualifient de « meilleur élève » du Président Félix Antoine TSHISEKEDI s’est distingué non seulement par des réalisations concrètes mais aussi par sa capacité à défendre les initiatives de l’État, notamment lors du meeting du 1er juillet dernier au bâtiment du 30 juin lorsqu’il appelle Joseph KABILA et Corneille NANGA à tirer toutes les Conséquences de leur traîtrise.

Lors de cette rencontre, KYABULA a démontré une fois de plus son habileté à plaider pour les accords et les projets du gouvernement central, une position qui lui a valu des éloges mais aussi, paradoxalement, une vague d’attaques virulentes. Pourquoi cette folie subite pour tenter de « noyer » un homme qui ne cesse de prouver son efficacité ? La question mérite d’être posée, car elle soulève des interrogations sur la nature même de la méchanceté humaine.
Les critiques dirigées contre KYABULA semblent souvent déconnectées de la réalité. Derrière ces attaques, se cachent probablement des motivations peu avouables : rivalités politiques, ambitions personnelles, ou simple incapacité de certains à accepter le succès d’autrui. Ces comportements, bien loin de l’esprit constructif que nécessite la gestion des affaires publiques, fragilisent non seulement les individus mais aussi les institutions qu’ils représentent. La méchanceté humaine, dans ce contexte, ne s’attaque pas seulement à KYABULA en tant qu’homme de confiance du Chef de l’État Félix Antoine TSHISEKEDI, mais tente de discréditer un modèle de gouvernance qui inspire d’autres leaders.

Il est essentiel de rappeler que les attaques infondées, si elles peuvent temporairement fragiliser leur cible, finissent par révéler la petitesse de leurs auteurs. Jacques KYABULA, fort de son bilan et de son engagement, semble bien conscient de cette réalité. La nature est Juste et Dieu seul sait défendre ses enfants.
PAPY NYANGE